
Dans le monde du travail, notamment dans l'industrie gastronomique, il est fréquent de rencontrer des situations où il est nécessaire de travailler une ou plusieurs journées d'essai avant d'être embauché définitivement. Mais que se passe-t-il lorsque ces journées d’essai ne sont pas rémunérées ?
Face à ce refus, la femme a poliment fait valoir que même pendant les jours du procès, elle espérait recevoir une compensation financière pour le travail effectué. Mais le manager a maintenu sa position, laissant entendre que s'il voulait faire un « extra », il aurait dû en discuter au préalable.

La situation a non seulement indigné Lucía, mais a également suscité un vif débat sur les réseaux sociaux. La conversation entre la jeune femme et son patron a été partagée par le compte @SoyCamarero, dédié à rendre visible ces problèmes de travail. La publication est rapidement devenue virale, cumulant plus de 600 000 vues et 6 000 likes.
Dans les commentaires, des centaines d'utilisateurs ont exprimé leur rejet de cette pratique, soulignant que le travail, qu'il soit expérimental ou non, mérite d'être rémunéré de manière adéquate.
« Et puis ils se plaignent du fait qu'il n'y a pas d'employés, qu'ils ne veulent pas travailler. Ce que nous voulons, c'est que le minimum de la loi soit respecté », « Se plaindre et se plaindre », « Je n'arrive pas à croire qu'ils font ces choses » et « Cela m'est arrivé deux fois, à un endroit ils avaient une liste de 15 personnes. pour 'preuve' », sont quelques-uns des messages des utilisateurs.